là où je croyais être il n'y avait personne

LÀ OÙ JE CROYAIS ÊTRE IL N'Y AVAIT PERSONNE

LÀ OÙ JE CROYAIS ÊTRE IL N'Y AVAIT PERSONNE

8 > 26 juillet
16h20
JOURS PAIRS
UNIQUEMENT
Durée
1h15
À partir de
14 ans

En décortiquant le personnage « Duras », nous plongerons dans ses abîmes. Celle-ci nous fascine, de part sa liberté d’expression, sans morale ni bien pensance, elle dit l’innommable. Néanmoins, nous ne souhaitons pas faire un biopic. En attribuant des adjectifs à Duras pour la décrire, nous la limitons, nous l’emprisonnons, car elle est ceci et cela, sans être tout à fait ce qu’elle est, elle est ce qu’elle n’est pas, quelque chose d’imprécis où tout est vague. Personnage créé de toute pièce où il est difficile de démêler le vrai du faux. Et pourtant tout pourrait paraître vrai quand on voit brûler chez elle ce désir de vivre et de lutter. Nous ne chercherons pas à la définir mais nous essayerons de parler d’elle comme elle écrivait elle-même. Nous l’invoquerons comme on appelle les fantômes, et tenterons d’incarner une partie de ce qu’elle a été. Nous retrouverons le sacré dans sa résurrection, et de la mort surgira la vie. Nous avons questionné dans notre premier spectacle Un jour j’ai rêvé d’être toi , l’oralité, ici, nous voulons questionner le regard. Ce qui fait la spécificité d’un artiste c’est sa façon de regarder le monde. Nous avons envie de côtoyer Marguerite Duras jusqu’à tenter de voir à travers ses yeux, pour comprendre de l’intérieur sa façon d’être au monde ainsi que son geste créatif. Il y a comme une perdition totale de ce que nous sommes pour devenir un autre. En allant sur les traces de Marguerite c’est sur notre propre chemin que nous écrivons.

Conception, écriture et mise en scène | Anais MÜLLER, Bertrand PONCET

Distribution | Anais MÜLLER, Bertrand PONCET

Direction d'acteur | Pier LAMANDÉ

Scénographie | Charles CHAUVET

Costume | Clémentine SAVARIT

Lumière | Diane GUÉRIN

Musique | Antoine MULLER et Philippe VEILLON

Vidéo | Romain PIERRE

Production | SHINDO

Co-production | Théâtre d’Arles - Scène conventionnée (Arles), La Passerelle - Scène nationale (Gap), Théâtre du Bois de l’Aune (Aix-en-Provence), Comédie de Picardie - Scène conventionnée (Amiens)

Partenaires et soutiens | DRAC PACA, Région Sud, Département des Bouches-du-Rhône, La Chartreuse - CNES (Villeneuve-lez-Avignon)

La compagnie SHINDO est implantée en Région Sud.

Pour contrer la solitude et l’ennui, Anais et Bertrand jouent à faire du « théââââtre ». Parce que tout est vain et que la vie c’est la vie, ils se sont mis à faire pour faire, non par nécessité, non par cupidité, non par orgueil (enfin si peut-être un peu) mais juste parce que finalement il n’y avait que cela à faire. Anais a une pelle et Bertrand un marteau-piqueur. Ils creusent des trous ; ils creusent des trous sans savoir pourquoi. Qu’y a-t-il dans un trou ? Deux oignons qui s’épluchent. Deux oiseaux de la nuit qui touchent le fond et qui se demandent c’est quoi vivre alors ? Bert et Ange c’est un duo philosophant sur la vie. Des gens de la lune qui vont décortiquer les mécanismes de fiction pour comprendre comment l’oeuvre et l’humain se construisent. Pourquoi rêver toujours d’être un autre quand on peine déjà à savoir qui on est ? Réflexion faite, l’idée leur est apparue que nos choix et nos désirs ne nous appartenaient pas et que donc l’homme, être de fiction et de culture, semblait être, naturellement et facilement manipulable. Sous forme de traités, qu’on appellera « Les traités de la Perdition », les spectateurs assidus pourront suivre Ange et Bert évoluant dans leurs fantasmes pour mettre en exergue la mort d’un monde qui se décompose de l’intérieur.

En décortiquant le personnage « Duras », nous plongerons dans ses abîmes. Celle-ci nous fascine, de part sa liberté d’expression, sans morale ni bien pensance, elle dit l’innommable. Néanmoins, nous ne souhaitons pas faire un biopic. En attribuant des adjectifs à Duras pour la décrire, nous la limitons, nous l’emprisonnons, car elle est ceci et cela, sans être tout à fait ce qu’elle est, elle est ce qu’elle n’est pas, quelque chose d’imprécis où tout est vague. Personnage créé de toute pièce où il est difficile de démêler le vrai du faux. Et pourtant tout pourrait paraître vrai quand on voit brûler chez elle ce désir de vivre et de lutter. Nous ne chercherons pas à la définir mais nous essayerons de parler d’elle comme elle écrivait elle-même. Nous l’invoquerons comme on appelle les fantômes, et tenterons d’incarner une partie de ce qu’elle a été. Nous retrouverons le sacré dans sa résurrection, et de la mort surgira la vie. Nous avons questionné dans notre premier spectacle Un jour j’ai rêvé d’être toi , l’oralité, ici, nous voulons questionner le regard. Ce qui fait la spécificité d’un artiste c’est sa façon de regarder le monde. Nous avons envie de côtoyer Marguerite Duras jusqu’à tenter de voir à travers ses yeux, pour comprendre de l’intérieur sa façon d’être au monde ainsi que son geste créatif. Il y a comme une perdition totale de ce que nous sommes pour devenir un autre. En allant sur les traces de Marguerite c’est sur notre propre chemin que nous écrivons.

Conception, écriture et mise en scène | Anais MÜLLER, Bertrand PONCET

Distribution | Anais MÜLLER, Bertrand PONCET

Direction d'acteur | Pier LAMANDÉ

Scénographie | Charles CHAUVET

Costume | Clémentine SAVARIT

Lumière | Diane GUÉRIN

Musique | Antoine MULLER et Philippe VEILLON

Vidéo | Romain PIERRE

Production | SHINDO

Co-production | Théâtre d’Arles - Scène conventionnée (Arles), La Passerelle - Scène nationale (Gap), Théâtre du Bois de l’Aune (Aix-en-Provence), Comédie de Picardie - Scène conventionnée (Amiens)

Partenaires et soutiens | DRAC PACA, Région Sud, Département des Bouches-du-Rhône, La Chartreuse - CNES (Villeneuve-lez-Avignon)

La compagnie SHINDO est implantée en Région Sud.

Pour contrer la solitude et l’ennui, Anais et Bertrand jouent à faire du « théââââtre ». Parce que tout est vain et que la vie c’est la vie, ils se sont mis à faire pour faire, non par nécessité, non par cupidité, non par orgueil (enfin si peut-être un peu) mais juste parce que finalement il n’y avait que cela à faire. Anais a une pelle et Bertrand un marteau-piqueur. Ils creusent des trous ; ils creusent des trous sans savoir pourquoi. Qu’y a-t-il dans un trou ? Deux oignons qui s’épluchent. Deux oiseaux de la nuit qui touchent le fond et qui se demandent c’est quoi vivre alors ? Bert et Ange c’est un duo philosophant sur la vie. Des gens de la lune qui vont décortiquer les mécanismes de fiction pour comprendre comment l’oeuvre et l’humain se construisent. Pourquoi rêver toujours d’être un autre quand on peine déjà à savoir qui on est ? Réflexion faite, l’idée leur est apparue que nos choix et nos désirs ne nous appartenaient pas et que donc l’homme, être de fiction et de culture, semblait être, naturellement et facilement manipulable. Sous forme de traités, qu’on appellera « Les traités de la Perdition », les spectateurs assidus pourront suivre Ange et Bert évoluant dans leurs fantasmes pour mettre en exergue la mort d’un monde qui se décompose de l’intérieur.

LA COMPAGNIE

SHINDO

Pour contrer la solitude et l’ennui, Anais et Bertrand jouent à faire du « théââââtre ». Parce que tout est vain et que la vie c’est la vie, ils se sont mis à faire pour faire, non par nécessité, non par cupidité, non par orgueil (enfin si peut-être un peu) mais juste parce que finalement il n’y avait que cela à faire. Anais a une pelle et Bertrand un marteau-piqueur. Ils creusent des trous ; ils creusent des trous sans savoir pourquoi. Qu’y a-t-il dans un trou ? Deux oignons qui s’épluchent. Deux oiseaux de la nuit qui touchent le fond et qui se demandent c’est quoi vivre alors ? Bert et Ange c’est un duo philosophant sur la vie. Des gens de la lune qui vont décortiquer les mécanismes de fiction pour comprendre comment l’oeuvre et l’humain se construisent. Pourquoi rêver toujours d’être un autre quand on peine déjà à savoir qui on est ? Réflexion faite, l’idée leur est apparue que nos choix et nos désirs ne nous appartenaient pas et que donc l’homme, être de fiction et de culture, semblait être, naturellement et facilement manipulable. Sous forme de traités, qu’on appellera « Les traités de la Perdition », les spectateurs assidus pourront suivre Ange et Bert évoluant dans leurs fantasmes pour mettre en exergue la mort d’un monde qui se décompose de l’intérieur.

                                                                                           

Contacts

Diffusion | IN8CIRCLE - Lucie JULIEN

04 84 25 57 67

  lucie@in8circle.fr

 

En savoir plus

Site internet et media sociaux de la compagnie
Télécharger le dossier complet du spectacle

PRESSE

CONTACT : Murielle RICHARD | 06 11 20 57 35 |  presse@theatredutrainbleu.fr
Crédits photo © Charles CHAUVET
Télécharger les photos
en Haute Définition
    

TEASER

MEDIA